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Paul et Louisa Hamilton 1914-1928
4 août 2015

je pars

Mercredi 4 août

Après avoir fait mon sac, je pars pour Nantes à 1h avec Henriette. Nous déjeunons rue du Calvaire. Je vais chez Moit m'acheter un très joli corsage de mousseline, je vais jusqu'à la Faculté de Médecine chercher le nom des médecins de Dombasle et je suis bien embarrassée car il y en a quatre. *

Au commissariat de police, on ne peut me faire mon passeport que pour Nancy, le reste dépendant de l'autorité militaire.

Je vais dîner chez ma tante où vient l' abbé Allain qu'elle n'attendait pas. Le saint homme, qui est très amusant, nous a fait beaucoup rire. Il part à 9h. J'étais très fatiguée n'ayant pas dormi la nuit d'avant.

A 10h 1/2 Julie m'accompagne que à la gare et me quitte peu après. Sur le quai je trouve le Gl Alba qui m'aide à m'installer en wagon. J'étais avec un jeune poilu et un vieil épilé qui ont dormi tout le temps. Moi aussi du reste avec quelques réveils. Mes autres compagnons de route étaient deux dames, la mère et la fille, plantureuses, la mère en coiffe, la fille fort chic.... Elles ont passé leur temps à manger et entre deux  oeufs durs, la fille d'un air dolent se plaignait de mal de coeur.

 * NB: L’armée interdit aux hommes de faire venir leur famille dans la Zone des Armées, cependant il semble qu'il fut possible pour les épouses de rejoindre leur mari dans les zones où le front était stabilisé. Ceci était aussi possible s'il s'agissait de rejoindre le lieu de résidence du couple avant la déclaration de guerre.

Paul Hamilton, prudent par rapport à l'interdiction de faire venir Louisa à Rosières aux Salines dans la Zone des Armées ainsi que de l'interdiction d'écrire l'emplacement exact des unités, n'a semble t-il pas mentionné précisément chez qui il séjournait ni dans quelle ville. Le télégramme rédigé de manière sybilline sous un nom d'emprunt (celui d'un lieutenant complice dont l'épouse résidait à Rosières) a du faire penser à Louisa que Paul séjournait chez le médecin de Dombasle.... Le télégramme n'a malheureusement pas été conservé mais il est possible d'en deviner la teneur à la lecture du journal de Louisa à la date du 6 août 1915. Le télégramme n'a pas été envoyé immédiatement par les services postaux qui avaient sans doute reçu des consignes pour les retenir. Le télégramme n'a été adressé à Louisa que  trois jour après sa rédaction, sans que Paul n'en ait été averti.

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17 août 2015

la croix de guerre

17 août

Je ne suis pas sortie. Paul était parti avec son bataillon le matin et n'est rentré qu'à 4h du soir. Il a été ce jour là décoré de la croix de guerre, mais à Léomont. Je n'avais donc pu y aller et moi qui étais restée 1 jour de plus pour le voir décorer. Le Commandant en le décorant lui a dit que la 1ère fois qu'il ferait quelque chose, il lui demanderait la Légion d'Honneur. Le général Chéré lui a dit qu'il aurait dû avoir la citation à l'ordre de l'armée et la palme, que les chasseurs étaient toujours trop modestes et qu'on aurait dû les vanter un peu plus.

Paul est rentré un peu courbaturé, ayant fait sauter son cheval et étant retombé à faux.

18 août 2015

retour à Remiremont

... étant retombé à faux.

18 août

A cause de cela il n'a pas pu m'accompagner à la gare ce jour là. Je suis allée prendre le train à Blainville en voiture à 8 Km afin de prendre l'express. Je suis arrivée sans encombre à Remiremont à 10h1/2. J'ai été frappée tout de suite par l'aspect dénudé du Parmont. Il a été dépouillé de ses arbres dès la mobilisation à fin de pouvoir surveiller les abords du fort. J'ai versé un pleur sur nos chers petits bois tant parcourus avec Paul.

J'ai donné mon sac au commissionnaire, le père Henry, mon marchand de bière. En passant je suis montée chez Mme Duchet, très contente de me voir ! Mr Voisin m'avait vue de loin et est arrivé derrière moi. Il m'a accompagnée jusque chez moi.

Je n'y ai pas trouvé Mme Demangeon qui travaille à la banque et déjeune dans les environs, aussi suis-je allée chez les Demouy demander à déjeuner. Mr était à Gérardmer, j'ai trouvé Mme et Simone, très étonnées aussi et qui ont eu l'air ravi.

Elles m'ont appris que l'usine à gaz était gérée pendant la guerre par Mr Coz et que Mme Coz était ici.

Après déjeuner je suis repartie à la maison puis je suis allée jusqu'à St Etienne pour voir Mme Massin, femme d'un lieutenant du 15e tué le 20 juin. Je ne la connais pas, mais son mari adjudant avant le guerre était de la compagnie de Paul qui l'aimait beaucoup. Il a été tué en héros. Je n'ai pas trouvé la jeune femme (23 ans) elle était absente avec son aîné 2 ans. J'ai vu sa mère et sa fille (5 mois). La mère  a eu l'air très touché. Les pauvres gens sont très éprouvés. La fille aînée de cette dame est morte en couche il y a 2 ans, le mari a été tué en août 1914 et la deuxième fille devient veuve.

Ensuite je suis allée voir Mme Coz,et Mme Jeanperrin qui étaient sorties. J'ai fait des courses et je suis retournée voir Mme Duchet. J'ai dîné chez les Demouy. Les Coz, Mme Duchet et Roger sont venus après dîner. J'ai appris qu'il était venu le matin à 7h un taube qui avait jeté 2 bombes du côté du 5e.

21 août 2015

Neufchâteau - les Ottenheimer

Remiremont - Neufchâteau 21 août

Je suis partie à 7h du matin pour Neufchâteau. Ayant trop de kg de bagages, j' expédie la voiture de Loulou en postal avec le père Henry qui est très aimable. J'arrive à midi 1/2 à Neufchâteau. L'après-lidi je suis sortie avec Mme Claudot et Xavière.

Neufchâteau est moins bien que Remiremont, c'est une vieille ville dont on a vite fait le tour, c'est tout en montées et descentes. Du haut, on a une assez jolie vue sur la vallée du Mouzon. C'est très vert comme campagne, boisé et accidenté mais pas très haut, c'est la queue des Vosges. Il y a deux belles églises des 12e et 13e siècleq. Saint Nicolas et Saint Christophe. Je vais voir les Ottenheimer et les rencontre non loin de chez Suzanne. Nous rentrons tous chez Suzanne. Mr et Mme Ottenheimer ont un peu vieilli. Suzanne a embelli et est charmante. Madeleine a 20 ans et est très jolie, quant à Marie 13 ans, elle promet d'être mieux que ses soeurs.

Suzanne est luxueusement installée comme maison et comme meubles. Ils sont tous aussi gentils qu'autrefois, et ont manifesté un tel plaisir de me revoir que j'ai été touchée, il est vrai que le plaisir était partagé.

Mmes Nouslan et Claudot ont été charmantes. Mme Claudot a une grande maison confortable et commode.

Le soir à 7h nous sommes allées à la gare voir si Paul ne viendrait pas. Mme Claudot m' avait écrit à Remiremont de lui demander de venir mais il n' a eu ma lettre que le lundi 23. J'y ai retrouvé Suzanne qui attendait son mari au repos à Lunéville. Bécourt a l'air gentil. Suzanne m 'a dit : "mon mari a vu le votre cet hivers à Boesinghe. Il m' a dit que c'était un très chic type."

 

22 août 2015

Domrémy

Neufchâteau Domrémy 22 août

le matin nous sommes allées à la messe. Mme Claudot avait à dîner une cousine de son mari très bien Mlle Claudot.

A 1h1/2 Mme Claudot, Xavière et moi sommes partis en voiture pour Domrémy qui est à 10 km. La voiture était un break. Le cheval un des rares qu'on puisse avoir à l'heure actuelle à Neufchâteau éait le cheval des ordures. Il s'arrêtait devant tous les pruniers.

La route est jolie entre Neufchâteau et Domrémy. Le pays est très vert et toujours accidenté. Domrémy et la maison de Jeanne d'Arc sont telles que le décrivent les guides et le représentent les vues. On a tout de même une petite émotion. L'église est charmante et relativement ancienne quoiqu'une partie seulement soit contemporaine de Jeanne. Nous sommes montés à la basilique à 1 km au pied du Bois Chenu. La basilique est quelconque, les vitraux sont beaux mais la vue est jolie sur la Meuse.

J'étais enchantée d'avoir fait ce pélerinage.

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23 août 2015

les bagues en aluminium

Neufchâteau 23 août

Je sors le matin et en rentrant je trouve une dépêche de maman m' annonçant l' arrivée de Charles, qui avait devancé le jour fixé. Un train partait à 1h mais il était midi 1/4. Il m' était impossible d' être prête. La dépêche était arrivée à 10h mais j'étais sortie.

L'après-midi, je suis sortie avec Mme Claudot, je suis allée chez ses cousines et à 4h je suis allée chez lles Ottenheimer prendre le thé. Suzanne m' a montré sa maison. Elles avaient des bagues en aluminium, ravissantes comme forme et nous avons bien ri en essayant d'en prendre le dessin pour envoyer à Paul. Chacun avait une idée et la mettait à exécution. Enfin le mieux a été une empreinte en papier d' étain, avec de la cire à parquet coulée dedans.

J'ai pu donner cela le soir à la bonne Claudot qui est allée la porter à la gare à un soldat du 60e d'artillerie qui regagnait Rosières. Ce dernier lui a appris que le 4e ne cantonnait plus à Rosières mais à Saffrais. Ils étaient trop bien, chacun son tour.

Les Ottenheimer m'ont accompagnée jusque chez Mme Claudot.

24 août 2015

Paris

Neufchâteau - Paris 24 août

J'ai quitté Neufchâteau à 7h1/2. A 2h1/2 j' étais à Paris. Nous étions au complet : 7 militaires. J'ai déjeuné au wagon restaurant plein de militaires aussi. Gare de l' Est, j'ai pris un taxi qui m' a menée au Quai d' Orsay où je me suis lavée et brossée, puis je suis allée me promener sur les boulevards jusqu'à l'avenue de l' Opéra, que j'ai descendu, je suis allée m' asseoir au Palais Royal, puis je suis revenue par la rue de Rivoli, Place de la Concorde et de là à la Madeleine où j'ai dîné au Duval. Je suis allée me coucher de bonne heure.

24 août 2015

la revue

8h30 à l 'occasion de la remise de drapeaux aux régiments de la Brigade du Maroc, la 11e , la 153e DI, des groupes du 8e et du 60e d'artillerie (3 groupes par régiment), la 2e Brigade de Dragons et le 5e Régiment de Hussards sont rassemblés au Nord Est d'Azelot pour être passés en revue par le Président de la République.

9h00 Le cortège présidentiel arrive par Azelot. Le Président de la République passe la revue à pied, suivi du Roi des Belges, du ministre de la guerre et du Général Joffre. Il remet ensuite  les drapeaux aux 1er Régimentmixte de Tirailleurs et Zouaves et au 9e Régiment de Zouaves puis un certain nombre de décorations

Après la revue a lieu le défilé des troupes Chaque Corps ayant reçu l'ordre de faire une Grand ' halte avant de rentrer dans ses casernements, le 4e Bataillon de Chasseurs se porte au Sud de Coyviller et y fait Grand ' halte. Il rejoint ensuite Ferrières et Saffais.

25 août 2015

Basse Indre

25 août

Je suis partie à 8h20. Le mouton qui avait voyagé aux bagages sur la ligne de l' Est a été refusé sur l'Orléans. Les employés n'ont jamais été capable s de me dire pourquoi. Le chef de gare de Basse Indre n'y a rien compris. Heureusement qu'un porteur d'Orsay m'avait porté mes bagages dans un wagon, j'ai pris le mouton sous mon bras. Mais j'avais peur que personne ne soit à la gare.

J'ai rencontré Mme Paulus à la gare. Elle vanait d'accompagner son mari qui partait pour Orléans.

J'ai déjeuné au wagon restaurant. Charles et Hélènes étaient à la gare. Nous sommes repartis pour Basse Indre. Charles était là depuis le dimanche matin 22 et repartait le 29. Il a bonne mine mais il est encore plus frêle (?).

Au Fouloir, nombreuses réunions. Eula lie, le curé, les Sancy. Les petites ont eu l'air ravi. Elles m'ont souhaité ma fête avec des bouquets. Maneine m'a récité un compliment et m'avait acheté une boîte de berlingots avec une belle pièce de 10 sous donnée par tante Hélène.

Une promenade à Saint Nazaire tait organisée pour le lendemain;, c' était le seul jour paraît-il. J'ai donc continué mes voyages et nous avons décidé Eulalie à venir.

20 août 2015

les bagages

Remiremont 20 août

Je suis sortie le matin pour aller payer mes impôts et pour viser mon passeport. J'ai été chez Mme Marcot. Je n'ai vu que sa mère Mme Dupays. Je déjeune chez les Demouy.

Mmes Marcot, Coz et Duchet viennent me voir. Je fais mes bagages, car j'ai rapporté une malle, le mouton et la voiture de Loulou.

J'ai expédié des confitures à Paul et ai emporté les autres dans une malle. Elles sont bien arrivées. J'ai retrouvé 25 pots. Paul en avait mangé en Alsace, et les chasseurs blessés aussi. J''ai donné aux petits Demangeon des boutons de manchette en argent. J'ai rapporté aux bonnes des broches en argent avec la croix de Lorraine, à Julie une croix de Lorraine émaillé, aux petites un pendentif soldat émaillé, à Hélène et à Marie un coupe papier ski, à papa et maman un napperon brodé, à ma tante un rabat, à Charles Zimmer un stylo acheté à Paris. J'ai dîné chez Mme Bonnet qui a été charmante.

19 août 2015

ma maison

Remiremont 19 août

Ma maison était en fort bon état. Mme Demangeon a été très gentille. J'ai couché chez elle - j'ai été la voir à la banque la veille après-midi. Chez moi tout était en ordre et rien n'était abîmé. J'ai néanmoins remis du camphre un peu partout et rangé encore bien des choses. Mme Demangeon était très contente car si la maison est réquisitionnée, elle sera plus tranquille !

J'ai travaillé toute la matinée. A 11h1/2 je suis allée chez Mme Bonnet que j'ai trouvée avec son frère et sa soeur Mme Tamin (?). J'ai déjeuné chez les Demouy. L'après-midi j'ai retravaillé. J'ai eu la visite des Jeanperrin et de leur fille. Lui a été blessé pas gravement et est en congé. Elle a perdu son père tué par un obus à St Dié. La petite est grosse et belle.

A 5h1/2 je suis allé voir Mme Bonnet puis Mme Tabournel dont le mari a été tué en 7bre dernier. J'ai été dîner chez Mme Duchet avec un camarade de Roger... et Mme Hélie qui nous a dit des choses idiotes immorales et inconvenantes. Comme dit Paul, c'est une immonde saleté. Roger et son ami nous ont raccompagnées.

 

15 septembre 2015

Saint Lumier en Champagne

3h30 du matin : arrivée du 1er détachement à Vitry le François.

Grand'halte Place François 1er

Le 1er détachement se rend ensuite au cantonnement de Saint-Lumier-en-Champagne où il arrive à 9h45

Le Quartier Général de la 153e Division s'installe à Changy, celui de la 306e Brigade à Saint-Amand-sur-Fion

24 septembre 2015

vers Saint-Jean-sur-Tourbe

22h30 : le bataillon reçoit l'ordre de rompre et de se porter par l'itinéraire Somme-Brionne , Somme-Tourbe, sur Laval en une colonne composée du 418e RI, du 2e BCP,du 4e BCP et de s'acheminer par les boyaux C3, C4 jusqu'au ravin de Wargemoulin où ses têtes de colonnes devront être rendues pour 5 heures, le 26, maintenu à la sortie Est de Saint Jean sur Tourbe

26 septembre 2015

21ème Brigade

Les 2e et 4e BCP sont mis à la disposition du Général Hellot commandant la 21ème Brigade.

11h00 : le 4e bataillon redescend dans le ravin de Marsan et, par ordre du Général Commandant l'Armée, vient s'établir dans les tranchées entre le Bois Barot et le Bois en Equerre, le 2e chasseur à gauche, le 4e BCP à droite.

Pour se porter sur son emplacement, le 4e BCP emprunte les boyaux C7 et C6.

Les pertes pour la journée s'élèvent à 8 morts et une trentaine de blessés.

20 avril 2014

Pâques - achat de matériel photographique

25 février 2014

Paul à Nancy

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Petit

5 novembre 2015

lettre du lieutenant-colonel de Valon

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19151104r19151104s

lettre probablement reçue le 8 novembre

7 novembre 2015

lettre de Frugier à Mme Zimmer

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lettre reçue le 12 novembre

8 novembre 2015

le doute n'est plus permis

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lettre du capitaine Thouvenot

9 novembre 2015

les paquets reviennent du dépôt

19151109a19151109b19151109c19151109d  lettre incomplète

7 novembre 2015

la famille de Béchillon

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19151107j19151107k  19151107l  lettres reçues le 10 novembre

15 avril 2015

agenda - les joyeux

les joyeux = soldat des bataillons d'Afrique

13 août 2014

combats du Pont d'Aspach

19140813a

5e compagnie : l'engagé volontaire Lecomte, blessé au Pont d'Aspach le 10 août, a été fait prisonnier.

30 octobre 2014

Mme Bombois d'Onoz (Jura)

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lettre reçue le 16 novembre

19141030m : article sur Raon l''Etape

25 novembre 2014

Du bist min, ich bin din

19141124b  19141124a

Le texte est un poème allemand du moyen âge écrit par une femme inconnue :

Tu es mien, je suis tienne;
De cela tu dois être certain;
Tu es prisonnier de mon coeur;
La clef en a été égarée:
Tu dois y rester pour toujours.

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Paul et Louisa Hamilton 1914-1928
  • la famille Hamilton-Zimmer lors de la guerre 1914-1918. Le blog a été in alimenté au jour le jour 100 ans après. © les fichiers des documents publiés sur ce blog appartiennent à son auteur : toute reproduction ou utilisation à d'autres fins est interdite.
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Le blog est constitué d'images de lettres et photographies scannées reproduisant la correspondance de la famille Hamilton-Zimmer pendant l'année 1914 et la 1ère guerre mondiale. Les images sont publiées dans les messages du blog au jour le jour, 100 ans après : ainsi un message publié le 3 juin 2014 aura été écrit le 3 juin 1914.
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